| Fanazavàna teny frantsay |
9ou voatseva (toute la côte Est, de l'île Sainte-Marie jusqu'à Fort -Dauphin).
10Nom relevé par Flacourt, Histoire de la grande île de Madagascar (1661) p.
11137 et 140, sous la forme : « seva » ; ce mot a été mal lu par Wernham et transformé en : Sabicea sena Wernham.
12Il s'agit en fait de Sabicea diversifolia Pers.
13(Rubiaceae).
14Chapelier, lettre du 21 janvier 1805, écrit : « Voué-Céva : recommandable tant par ses fruits qui sont bons à manger, que par ses feuilles dont l'amertume les fait rechercher des Malgaches comme vermifuge, étant prises en décoction, et sont encore estimées d'eux dans les dévoiements » Fontoynont qui commente cette lettre : Bull.
15Acad.
16Malgache 10 : p.
17339, note 7 (1912) ajoute que les feuilles amères sont ajoutées à la betsabetsa (boisson fermentée) , et que la racine écrasée dans l'eau sert de purgatif.
18Bernier écrit : « Voa seiva » et ajoute : « On donne la décoction pendant le frisson de la fièvre, pour rappeler la chaleur ; réf.
19Bernier 271 (1834) dans l'herbier du Muséum national d'Histoire naturelle, Paris.
20Voir aussi voantseva et voasaiva.
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